Les mutations de Masevaux au fil du temps.

Vues anciennes prises entre 1900 et 1950, cinquième partie.

Les vues anciennes sont extraites de cartes postales, les vues récentes sont des photos de l'auteur. Les  photos anciennes sont susceptibles d'être retouchées pour des raisons d'esthétique.

De nombreux renseignements ont été puisés dans l'ouvrage de J.M. Ehret, M. et G. Redhaber, B.Sutter et D.Willmé : "La vallée de Masevaux à l'orée du siècle. (1894 -1914)

Les photos ci-dessous montrent quelques visages de la ville à plus de 50 années d'écart. Pour comparer les deux vues, déplacez le curseur de votre navigateur de gauche à droite.

Passé

 

Présent

 L'hôtel de ville pendant la guerre 1914-1918...

...et en 2007.

 La boulangerie n'a pas quitté ces murs depuis un siècle...

...ici et en 2013.

 Novembre 1944 : les combats de la Libération ont gravement endommagé la quincaillerie-épicerie Lintzer qui jouxtait le pont de la mairie. (photo R.Gendre) 

Les mêmes lieux en 2013.

 La rue et le pont de la mairie pendant la guerre 1914-1918...

...aujourd'hui, rue du Maréchal de Lattre de Tassigny.

 

 

La même rue dans le sens opposé. On aperçoit l'hôtel-restaurant "Zu den goldenen Löwen" (Aux lions d'Or) où descendaient les personnalités durant la Première Guerre mondiale. 

 Aujourd'hui, cet hôtel a disparu.

 Devant ce même hôtel et son oriel caractéristique, la rue jadis animée de militaires et de badauds...  

 ...est bien plus calme un dimanche de 2009. 

L'école des filles (die neue Mädchenschule) a été construite en 1902. Pendant la Première Guerre mondiale, elle a abrité une infirmerie militaire.

Aujourd'hui, à l'heure de la mixité, elle s'appelle "École des Abeilles" en raison des ruches sculptées sur la façade, symbole d'un travail appliqué.

 

La Porte Saint-Martin avant 1914, avec la "Spezereihandlung" de Thérèse Doniat qui était également sage-femme.

 En 2009, cette épicerie a disparu.

 

Rue Meyenberg vers 1900 : "Wirtschaft zu den zwei Schlüsseln, Spezerei und Bäckerei". Propriétaire : E.Richert. 

 En 2009, la Trattoria Fancello a gardé l'enseigne des "Deux Clés".

 

Vers 1920, vue sur l'ancien hôpital surmonté d'un clocheton. L'édifice, construit en 1765, a été détruit par les bombardements allemands en juin 1940. 

 Le même point de vue en 2010.

 Le centre de Masevaux vu depuis les premières pentes vers Stoecken en 1920...

...et sous le même angle en 2005.

 Au début du XXe siècle, en amont du cimetière, les champs et les prés voués à l'agriculture...

 ...sont entièrement construits aujourd'hui.

 Au début du XXe siècle, vue sur la cité depuis les coteaux au-delà de la rue Mont-du-Château... 

 ...qui sont largement urbanisés aujourd'hui. 

L'entrée Nord-Ouest de la ville au début du XXe siècle : à droite on distingue l'enseigne de l'auberge "Zur Traube" (voir la photo suivante.) 

  En  2005, c'est la rue du 2e Bataillon de Choc.

L'auberge "Zur Traube" ci-dessus était aussi appelée "Restauration zum Velo-Chari" car son propriétaire, Charles Trommenschlager, était également réparateur de bicyclettes et président du Vélo Club de Masevaux à l'orée du XXe siècle.

Dans le même bâtiment agrandi, le café "Au raisin" de la famille Briswalter a accueilli les consommateurs jusqu'à la cessation de son activité en 2007. 

Suite du thème "Les mutations de Masevaux au fil du temps" :

 Vues anciennes prises entre 1950 et 1990.

L'évolution du Schimmel depuis le début du XIXe siècle.

Le monument aux morts de Masevaux.

 Photos anciennes sans correspondance actuelle.

Vues anciennes prises entre 1900 et 1950, première partie.

Vues anciennes prises entre 1900 et 1950, deuxième partie.

Vues anciennes prises entre 1900 et 1950, troisième partie.

Vues anciennes prises entre 1900 et 1950, quatrième partie.